Ce havre de paix a séduit Lorenzo Pellicioli, magnat des médias italiens (groupe De Agostini), en 2001. Le vignoble est alors converti en bio mais c’est seulement à l’arrivée d’Antoine Dürrbach (domaine de Trévallon), en 2013, que les vins vont se distinguer. Avec un encépagement pourtant peu commun dans le secteur, le vinificateur parvient à nous offrir des vins originaux, jamais dans l’exubérance, notamment un sauvignon blanc sudiste et tonique, et un merlot équilibré, franc du collier.